Bonjour, j'ai perdu la première partie de mon opus sur mon herpès, j'attends de la voir réapparaitre d'elle même. Pour ceux dotés d'une capacité d'entendement limitée, genre étudiants en école d'art, je donne des clés pour la comprehension de l'histoire, suite à de nombreuses réclamations (lol).
La première partie est consacrée à une introspection angoissée sur la recherche vaine de la situation ou j'ai pu choper cette horreur.
On passe quasi sans transition (attention, il faut s'accrocher, lecteur, c'est assez technique), à une autofiction ou je mets mon herpès en scène comme un side kick, reprenant des codes de films americains classiques, vous plongeant normalement dans une hilarité incontrolable, puis dans une tristesse brutale. Le pathétique de la situation ne faisant que renforcer la tragédie latente me menant tant bien que mal à un oubli et une mort certaine.
Bisou
Bisou
jai pa compri tu peut réxpliquer
RépondreSupprimerTes dessins, c'est un peu "cette obscure clarté qui tombe des étoiles" ou même "cette flamme si noire [dérobée] au jour", on comprend pas toujours mais c'est dark cool.
RépondreSupprimerouais c'est dark cool tahu !
RépondreSupprimereh c'est Justine Dhouailly qui parle, le blog m'oblige à être anonyme mais je l'ai contré, je disais : c'est "dark cool tahu" !
RépondreSupprimerJe suis trop contente que tu sois d'accord avec moi Justine Dhouailly
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